/fdata%2F0598495%2Favatar-blog-15379732-tmpphpmrw0Q4.jpeg){kind=avatar}
/fdata%2F0598495%2F%2Favatar-user-1057386-tmpphpgG4M7W.jpeg){kind=avatar}
« Le soleil vient de se lever, encore une belle journée, il va bientôt arriver, l’ami ricoréééééé » Ouais, c’est ça ouais… A l’heure à laquelle je me suis réveillé, le soleil était encore aux abonnés absents. En même temps, on dit « le soleil se lève », c’est de la connerie, par ici c’est le jour qui se lève (et encore, avec du mal…comme moi), le soleil, lui, il est en grève en ce moment. Et puis « l’ami Ricoré » ? Non mais vous me prenez pour qui là ?! Moi c’est Lavazza ou rien, d’ailleurs en ce moment c’est plutôt rien, je ne suis pas allé faire de course, alors « une belle journée », mon cul oui !!!
Dès le réveil, j’ai su que la journée n’était pas bien engagée… Je m’étais pourtant préparé à passer une nuit tranquille en prenant la plus élémentaire des précautions : foutre mes chats dehors, mais j’ai merdé ! Il y en a un qui me l’a joué aux sentiments, genre « miaou » (traduire : ouvre moi, je t’en supplie, il fait si froid dehors) en plantant ses yeux dans les miens… Comment un mec avec un cœur gros comme ça pouvait résister à ce pauvre petit animal transit par le froid ? Du coup, j’ai cédé et lui ai ouvert la fenêtre. Et là, posant ses pates franchement dégueu sur une table franchement claire (à l’origine), il s’est adressé à moi à nouveau, « miaouuuu » (comprendre : je t’ai bien baisé mon con sur ce coup là) et est allé continuer à s’essuyer les pates sur ma couette cette fois… Je l’ai rejoins (sous la couette, pas pour m’essuyer les pattes, je préfère préciser, on sait jamais).
Six heures, un truc bouge à mes pieds. Je l’envoie valser hors du lit, mais ça revient…et ça me gave ! J’ouvre un œil histoire d’engueuler Cliff, mais non : c’est Toubab ! Je fais un blocage, essaye de réfléchir (déjà d’habitude c’est chaud, mais au réveil c’est pire), « bon ben je l’ai sûrement oublié hier soir… » Avant de replonger, il faut que je passe aux « p’tits coins ». En y allant au radar, je butte sur Quinquin dans le couloir. Houlà, lui je suis certain de l’avoir viré hier ! Je commence à me poser de sérieuses questions quand un bruit me tire de ma réflexion… ça, c’est un chat qui gratte dans sa litière… Gagné, non pas Cliff, mais Tertonne !
En ressortant des toilettes, tout s’éclaire : la porte du sous sol est grande ouverte (ce qui explique la température dans le salon : le zéro absolu). Donc hier j’avais bien baqué tous les chats mais j’avais juste oublié un détail : Quinquin sait ouvrir les portes…quand elles ne sont pas fermées à clef, ce que j’ai oublié de faire, QUEL CON !!!
Je répare l’oubli (parce que son altesse Quinquin sait aussi ouvrir de l’intérieur), blinde la cheminée de bois et me glisse sous la couette (et les chats qui sont dessus)…
11 heures et quelques, le téléphone sonne. Là, c’est clair, si c’est Cliff qui m’appelle, je le butte ! Ah ben non, c’est un sms, Patur, « alors, cet apéro, on le prends quand ? » Ahhhh, ben quand même une bonne nouvelle aujourd’hui ! Les mauvaises, c’est que je suis en rupture de café (l’horreur) et qu’au lieu de vous pondre le sujet démago/coup de gueule initialement prévu, je vous raconte ma vie… Bon, je colle un point final et je m’attaque à l’autre papier !
Ps : l’apéro est prévu ce jeudi au Kinderarium, juste avant le concert de mister A, si d’aventure vous avez envie de trinquer avec nous, vous savez où nous trouver…
