3 novembre 2008
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17:55
Tout d'abord, je vous prie de m'excuser pour l'heure tardive de la publication de ce papier, je ne pensais pas qu'il fallait une heure pour se garer !!!
Alors les enfants, c'est bon, vous avez bien bossé et êtes venus à bout de cette version ? Un point de moins pour Christie's qui a soufflé à ses petits camarades, c'est mal ! Mais bon, comme l'exercice n'est pas noté, c'est pas grave.
En même temps il n'y a pas besoin de sortir de la cuisse de Jupiter (ni de personne d'autre d'ailleurs) pour comprendre ce que raconte cette jolie pub Adidas. Jolie sur la forme, mais pas vraiment sur le fond à mon goût...
Alors en gros, il était une fois un cordonnier, Adi Dassler, qui fabriquait des chaussures. Jusqu'ici, tout va bien (C.F. la haine). Puis il s'est mis à fabriquer des baskets et ça a marché pour lui puisqu'il a même équipé Jesse Owens aux J.O. de Berlin en 1936 (et non pas 38 Christie's), lors desquels il raffla 4 médailles d'or et colla une tôle symbolique aux bons aryens (peut également s'écrire en trois mots). Adi, comme il est nommé dans la pub (bien que son véritable prénom fut Adolf, allez comprendre pourquoi utiliser son surnom dans cette pub... mais j'ai ma p'tite idée là dessus) inventa par la suite les crampons et tout un tas d'accessoires, la suite, on l'a connait : Adidas est devenu... Adidas !
Ouais ben je suis désolé, je trouve ça un peu facile quand même !!!
Que serait devenu Adolf, pardon, "Adi", sans le talent de son associé de frère : Rudi (en fait, c'est Rudolf, mais comme les diminutifs ont l'air à la mode) ? Car c'est bel et bien Rudi qui a démocratisé la marque dans toute l'Allemagne (en même temps, je ne sais pas si le terme "démocratisé" est de bon aloi pour le régime allemand de l'époque).
Tout ça pour dire que je trouve cette pub bien foutue, mais il est dommage que seul Adi récolte les lauriers (et même le basilic, l'origan et autres épices, vu le succès) de la gloire au détriment de son frangin ! Voilà, c'est tout !
Ce dernier, selon les témoins de l'époque, aurait (au conditionnel hein) déclaré suite à cette honteuse éviction "va t'faire foutre connard, j'me tire*" et s'en est allé en 1948... et c'est tant mieux ! Car si j'ai la grande classe aujourd'hui (c'est une expression, j'ai la classe tous les jours en fait), c'est grâce à Rudolf Dassler et la marque de pompe qu'il a crée : Puma !
Il fallait que ce soit écrit, si ce n'est dit, et je suis fier de m'y être collé, voilà !
Bonne nouvelle pour tous les fils de pub comme moi : WAZZZZZZZZZZZZZUP est de retour (8ans après) !!! Mais pas pour bud... vous verrez pour qui à la fin (ça aide à mieux comprendre la bourse, l'Irak, la couverture sociale, le climat qui se détraque et tout et tout) :
*en fait, Rudolf ne s'est pas vraiment barré par colère... Pour la petite histoire, les deux frangins, étant appelés sous les drapeaux pendant la seconde guerre mondiale, ont confié la boite à leurs épouses respectives... qui ne pouvaient pas se blairer !
A leur retour*, ils se sont rendus compte qu'ils étaient dans une situation inextricable, dans l'impossibilité de retravailler ensemble et Rudolph est donc parti... pas bien loin : dans la même ville (Herzogenaurach en l'occurence) juste en face, de l'autre côté du fleuve qui sépare la ville...
Certaines rumeur affirment même que Horst, le fils d'Adolf, serait en fait... le fils de son oncle ?!?
Ahhhhhhh, les femmes !!!
Ps : je sais pas pour vous, mais moi j'ai HORREUR de ne pas trouver le petit texte qui va bien quand il y a un astérisque quelque part dans un texte ! Grrrrrr !!!
Alors les enfants, c'est bon, vous avez bien bossé et êtes venus à bout de cette version ? Un point de moins pour Christie's qui a soufflé à ses petits camarades, c'est mal ! Mais bon, comme l'exercice n'est pas noté, c'est pas grave.
En même temps il n'y a pas besoin de sortir de la cuisse de Jupiter (ni de personne d'autre d'ailleurs) pour comprendre ce que raconte cette jolie pub Adidas. Jolie sur la forme, mais pas vraiment sur le fond à mon goût...
Alors en gros, il était une fois un cordonnier, Adi Dassler, qui fabriquait des chaussures. Jusqu'ici, tout va bien (C.F. la haine). Puis il s'est mis à fabriquer des baskets et ça a marché pour lui puisqu'il a même équipé Jesse Owens aux J.O. de Berlin en 1936 (et non pas 38 Christie's), lors desquels il raffla 4 médailles d'or et colla une tôle symbolique aux bons aryens (peut également s'écrire en trois mots). Adi, comme il est nommé dans la pub (bien que son véritable prénom fut Adolf, allez comprendre pourquoi utiliser son surnom dans cette pub... mais j'ai ma p'tite idée là dessus) inventa par la suite les crampons et tout un tas d'accessoires, la suite, on l'a connait : Adidas est devenu... Adidas !
Ouais ben je suis désolé, je trouve ça un peu facile quand même !!!
Que serait devenu Adolf, pardon, "Adi", sans le talent de son associé de frère : Rudi (en fait, c'est Rudolf, mais comme les diminutifs ont l'air à la mode) ? Car c'est bel et bien Rudi qui a démocratisé la marque dans toute l'Allemagne (en même temps, je ne sais pas si le terme "démocratisé" est de bon aloi pour le régime allemand de l'époque).
Tout ça pour dire que je trouve cette pub bien foutue, mais il est dommage que seul Adi récolte les lauriers (et même le basilic, l'origan et autres épices, vu le succès) de la gloire au détriment de son frangin ! Voilà, c'est tout !
Ce dernier, selon les témoins de l'époque, aurait (au conditionnel hein) déclaré suite à cette honteuse éviction "va t'faire foutre connard, j'me tire*" et s'en est allé en 1948... et c'est tant mieux ! Car si j'ai la grande classe aujourd'hui (c'est une expression, j'ai la classe tous les jours en fait), c'est grâce à Rudolf Dassler et la marque de pompe qu'il a crée : Puma !
Il fallait que ce soit écrit, si ce n'est dit, et je suis fier de m'y être collé, voilà !
Bonne nouvelle pour tous les fils de pub comme moi : WAZZZZZZZZZZZZZUP est de retour (8ans après) !!! Mais pas pour bud... vous verrez pour qui à la fin (ça aide à mieux comprendre la bourse, l'Irak, la couverture sociale, le climat qui se détraque et tout et tout) :
*en fait, Rudolf ne s'est pas vraiment barré par colère... Pour la petite histoire, les deux frangins, étant appelés sous les drapeaux pendant la seconde guerre mondiale, ont confié la boite à leurs épouses respectives... qui ne pouvaient pas se blairer !
A leur retour*, ils se sont rendus compte qu'ils étaient dans une situation inextricable, dans l'impossibilité de retravailler ensemble et Rudolph est donc parti... pas bien loin : dans la même ville (Herzogenaurach en l'occurence) juste en face, de l'autre côté du fleuve qui sépare la ville...
Certaines rumeur affirment même que Horst, le fils d'Adolf, serait en fait... le fils de son oncle ?!?
Ahhhhhhh, les femmes !!!
Ps : je sais pas pour vous, mais moi j'ai HORREUR de ne pas trouver le petit texte qui va bien quand il y a un astérisque quelque part dans un texte ! Grrrrrr !!!