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C'est Tout Moi

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On tape la discute sur msn ?

A Lire, À Relire

14 mai 2007 1 14 /05 /mai /2007 21:01

Un certain vitryolé (dont je tairai le nom, je peux juste dire qu’il n’est pas grand) m’a un jour fait cette réflexion : « on est libre d’écrire ce que l’on veut sur son blog, les visiteurs, eux, sont libres de les lire ou pas » (je raccourcis mais en gros c’est ça). C’est pas faux ! Du coup je tente un truc « différent » aujourd’hui, le journal (presque) intime…

Hier soir, après un tournoi sportif qui m’avait vidé d’une partie de mes pourtant grandes forces et empli de houblon une grand partie de mon bide, j’avais rencard. Rencard avec une ravissante jeune fille dont le visage rayonnant (et le reste aussi) continue encore à m’émoustiller 24 heures plus tard ! Nous nous sommes retrouvés autour de « quelques » bières avant de partir diner, un diner seulement gâché par la présence fortuite d’un cadavre à nos côtés. En effet, ce petit corps flottant dans son aquarium, a fini par me couper l’appétit (j’avais déjà bien mangé quand même)…

Bref, oublions le poisson et revenons plutôt aux cochons (on a mangé des nems en fait). J’ai passé une agréable soirée, d’abord j’ai mangé (ce qui est assez rare ces derniers temps) et, surtout,  j’ai parlé (ce qui est assez rare cette dernière vie). On a discuté de tout et de rien, librement, sans tabou, à cœur ouvert tout simplement ; j’avais oublié à quel point ça peut être bon…

Comme je suis un vrai gentleman, je l’ai laissé payer (ben quoi ? Et l’égalité des sexes alors ?) avant de la raccompagner chez elle. Evidemment, bande de petits fripons lubriques que vous êtes, vous imaginez aisément la suite… Ben vous vous trompez, mais ce fut également très jouissif : je suis rentré chez moi et j’ai dormi (ce qui est assez rare etc.) !

A ce stade de votre lecture, vous vous dites sûrement « mais quel con ! Où a-t-il bien pu merder ? » Le rôle de con, ça, je le revendique pleinement, mais je n’ai pas merdé. J’avais pourtant autant envie d’elle qu’un aveugle peut avoir envie de voir. Peut être même que quelque chose résonnait également dans le fort intérieur de cette beauté callipyge (allez, soyons fou, disons…2% de chance ?)…

Toujours est-il que cette fidèle lectrice de ce blog pourri aura le message !

 

 

 

Et comme un bonheur n’arrive jamais seul,

une (bonne) petite bd !

Par contre c'est du Vullemin,

donc on oublie le bon goût...

 

Spéciale dédicace pour toi, mon petit Locat !!!

 

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26 avril 2007 4 26 /04 /avril /2007 14:42

Frères blogueurs, sœurs blogueuses, père Version et mère Dalors : pardonnez moi car j’ai péché…et rarement du poisson (sauf à l’occasion, quelques morues, thons et autres raies) !

 

 

 

La luxure est, évidemment, mon péché mignon. Je me suis vautré dans le stupre et la fornication plus souvent qu’à mon tour, je tiens d’ailleurs à m’excuser auprès de ceux à qui j’aurais justement pris le tour. Pour l’avarice, c’est involontaire. J’avoue ne pas avoir tout les albums de Manu Larcenet, mais c’est plus par manque de moyens que par pure radinerie (il me manque une douzaine de bd, à vot’ bon cœur m’sieurs dames).

 

 

 

Par contre j’ai bel et bien péché par envie. A force de me promener sur la blogosphère (principalement locale), j’ai voulu créer moi aussi mon blog… et j’y ai mis le temps ! Ceux que je visitais régulièrement étaient vraiment bien faits (si, si, ne rougissez pas), j’ai eu la prétention d’égaler le niveau, l’orgueil s’est emparé de moi.

J’ai rapidement sombré dans le péché de gourmandise : je me suis mis à surfer des journées entières, suivant, en temps réel, ici un débat passionnant, là une discussion délirante, au gré de mes envies, mes liens, mes clics… J’ai finis par ne plus lever mon cul du canapé, ou rarement afin de satisfaire des besoins naturels : me nourrir, dormir, tuer des bébés chat, etc. C’est ainsi que je me suis laissé aller à la paresse

 

 

 

« Ce ne sont là que de petits péchés, des peccadilles » me direz-vous. « Certes » répondrai-je non sans poursuivre avec une pointe d’humour qui bien que blasphématoire force le respect, « que celui qui n’a jamais péché me paye la première bière ! » Notez au passage l’hilarité que fait naître ce bon mot, un tel esprit aurait fait le succès de certains comiques comme Roger Pierre, Jacques Martins, les habitués des grosses têtes, Lara Fabian, etc. Mais abandonnons ce ton léger pour celui plus grave qui sied mieux aux déclarations qui vont suivre et reprenons à « bière ».

 

 

 

Bref, aujourd’hui c’est la colère qui m’envahit. Cet « entre deux tours » contamine la blogosphère vitryate comme la lèpre. Chacun y va de son petit commentaire déplacé, de son analyse à la con ; et que Sarko il est comme ci, et que Ségo elle est comme ça, et que ceci, et que cela, et que ça m’gonfle ! Ce n’est d’ailleurs que le reflet du pays, plus de meurtres, de vol, de catastrophes diverses, d’enfant disparu. Non pas qu’il n’y en ait plus (malheureusement) mais il y plus important pour le moment : « qu’est-ce qu’on fait pour le petit Whynot disparu ? » « passe le en page 9 coco, on a déjà 3 pages de Sarko, autant de Ségo et une page chacun à Bayrou et Le Pen ». Même le petit artisan spécialisé dans la fabrication de sabots dans les deux sèvres à disparu  de chez J.P. Pernault…

Et bonjour la profondeur abyssale du débat sur la toile :

-         Sarko c’est un facho !

-         Ah bon, pourquoi ?

-         Il est méchant

-         Pourquoi, qu’est-ce qu’il a fait ?

-         Des trucs méchants putain, suis un peu !

-         Ah, d’accord. Mais, et Ségo alors ?

-         Elle, elle est conne !

-         Ah bon, qu’est-ce qu’elle a dit ?

-         Des trucs qui…oh et puis merde, tu fais chier !

Et encore, il y a pire : « moi qui suis ni pour l’un ni pour l’autre, je ne sais même pas si je dois aller voter… » « Si t’y vas pas, tes qu’un con, pas la peine de venir te plaindre après, t’auras que le droit de pas la ramener et fermer ta gueule ! » Ah ils sont beaux les « anti-fachos », si t’es pas d’accord avec eux, t’as trois options : 1) t’as tort 2) tu te tais 3) les deux…

 

 

 

Alors oui je suis en colère, oui je trouve certains totalement ridicules, oui je ne supporte plus qu’on me parle de politique, oui quand je me coupe les ongles de pied je remarque de petits résidus noirâtres entre les orteils mais ça ne vous regarde pas et je vous demande de respecter ma vie privée merde alors, oui militants de bas étages à deux balles vous finissez par me les hacher menu-menu !

 

De mon côté, j’ai changé le nom de mes liens (mais rassurez vous, vous serez toujours là quand même), du votre modifiez en la description : vie locale, culture, humour, couture ou que sais-je encore, estampillez moi ça politique plutôt. On me dira « ça te plait pas ? Personne ne t’oblige à venir sur nos blogs », c’est pas faux. Mais si j’y vais, c’est pour lire, voir et écouter des choses qui ne sont pas ressassées à longueur de journée dans les journaux, à la tv ou la radio. Néanmoins attention, ce n’est pas parce que je dégueule dans la soupe que je n’en mange pas. Moi aussi j’ai fais un papier sur sieur Sarko qui m’a d’ailleurs valu d’assez bonnes critiques ; mais je commence à douter des raisons : est-ce parce qu’il était bien tourné ou seulement parce que je tapais sur Sarko ?

 

 

 

Donc j’ai cumulé les sept péchés capitaux. Que dois-je faire pour m’absoudre de ma faute ? Oublions les paters et autres Ave Maria à réciter x fois, je ne mange pas de ce pain (béni) là ; la seule prière que je connaisse c’est « prière de ne pas fumer ici » et ça aussi ça me les brise. Je ne me vois pas aller pieds nu à Lourdes, Katmandou ou ailleurs. L’exorcisme ? J’ai pas aimé le film. La solution : l’abstinence, faire vœu de silence (pour un temps)…

 

 

 

Mais n’en changez pas pour autant vos habitudes, continuez à pourrir la toile de votre intolérance, votre mauvaise foi, vos phrases toutes faites dont vous ne semblez pas comprendre le sens (volontairement, quand ça vous arrange), vos chiffres à la con et citations du même acabit, votre hypocrisie mal dissimulée, pour barrer la route à celui dont vous mettez sans cesse les travers en exergue alors que vous en arborez de semblables, si ce n’est pire…

 

 

 

Je tiens quand même à préciser deux choses importantes : 1) je ne fais ni de pro-sarkosisme ni de pro-royalisme, je m’en branle c’est tout ; je voterai Bayrou dimanche (à l’aide d’un marker). 2) Ces quelques lignes ne sont, heureusement, pas adressées à tous, seulement à ceux/celles qui se sentent à raison agressés.

 

 

 

J’ai donc décidé à partir de ce jour de me mettre en grève jusqu’au 07 mai, voire au 15 (il faudra au moins une semaine pour s’en remettre). D’ici là, service minimum (mais gros boulot quand même ! Vous jugerez d’ici un jour ou deux…sauf si désormais je suis boudé) !

 

 

 

Mais malgré tout (bonne) bd quand même 

quelques dessins parus dans

le canard enchaîné hier

 

 

 

Et enfin un petit bijou de Reiser

sur une idée d'un mec qui,

s'il était encore là...

Coluche

 

tiré du superbe recueil écris à 2 mains :

y'en aura pour tout le monde

 

 

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25 avril 2007 3 25 /04 /avril /2007 13:02

Laissez moi vous narrez une petite anecdote qui date d'hier.

Alors que je me prélassais au bord de la piscine dans l'une des nombreuses villas que je possède aux quatre coins du monde* (étant exploitant agricole, je suis un nantis, comprenne qui pourra/voudra), je laissais vagabonder mes pensées vers la politique agricole européenne. La douce quiétude du moment n'était troublée que par le chant des oiseaux exotiques et les clapotis de l'onde claire mais néanmoins chlorée de la piscine (en forme de tracteur) sur la peau satinée de Ginette. Précisons que c'est un nom d'emprunt, elle tient à garder l'anonymat afin de se préserver d'éventuels démêlés avec la justice (d'origine slovaque, elle a immigré clandestinement en France) et surtout avec son mari (Christian Karembeu est très jaloux).

C'est le contact de la sculpturale Ginette qui me sortit de cet état quasi léthargique dans lequel j'étais plongé. Ces lèvres pulpeuse vinrent effleurer mes oreilles (pulpeuses également) : « dis moi mon Rechbozlavinsky, je peux te faire une remarque ? » Mon esprit ne fit qu'un tour pour trouver rapidement un moyen digne de moi de m'éclipser rapidement : « le temps d'aller faire caca et je suis tout à toi ! » Le subterfuge a fonctionné. Je me suis précipité dans la bibliothèque afin de consulter le dictionnaire franco-slovaque. Rechbozlavinsky : créature de la mythologie slovaque. Malgré sa grande beauté, ce demi-dieu serait selon la légende le croisement d'un singe bonobo et d'un étalon reproducteur.

Je m'en revins donc soulagé vers ma terrasse. Mais la belle était partie. A sa place, quelques mots griffonnés sur un bout de papier : « kerlotchivine, vous me déçûtes...à bagages (je ne la côtoie pas pour son humour), ne cherchez plus jamais à me revoir ! Ps : je voulais juste vous signaler que Spiderman 3 sort la semaine prochaine. Après un rapide détour par la bibliothèque (kerlotchivine : se dit de l'organe reproducteur masculin quand il est de très petite taille. En français, peut se traduire par : p'tite bite) je continuai ma lecture : PS2 : par contre, si vous tentiez quand même de me revoir, je suis logé au whynot palace sur la 5ème avenue chambre 235, la porte sera (elle aussi)  peut être ouverte...

Un choix s'imposait donc à moi : avouer à mes fidèles lecteurs que, comme un con, je me suis planté dans la date, ou aller la défoncer (la porte) ?

 

 

 

Alors oui, je me suis planté dans la date ; oui, Spiderman 3 ne sera pas sur les écrans avant la semaine prochaine ; oui, il vous faudra donc attendre un peu pour qu'on en discute...

...et je vous emmerde !

 

 

 

*aux quatre coins du monde : c'est une expression qui me laisse pantois, comment trouver ne serait ce qu'un seul coin sur une sphère. Et j'en ai plein d'autres dans le même genre, on en reparle d'ici la fin de la semaine !

Et pour conclure non pas une page de (bonne) bd

mais un dessin.

Un dessin spécialement dédicacé à

 un embullé de mes connaissances

Tiré de "Maëster...et boule gomme"

(édité chez Fluide, 1985)

en vedette TRINTRIN le célèbre reporter

et Maëster par lui même

(tel qu'il était en 85 parce que depuis...)

de Maëster forcément...

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22 avril 2007 7 22 /04 /avril /2007 11:14

Pour une fois, je vais faire court :

à tout ceux qui, dans l'après midi, iront remplir leur droit devoir citoyen, n'oubliez pas :

 

Ne pas voter peut provoquer un président grave....

 

le monde selon Sarko :

 Vous me direz, ça pourrait être pire

Le monde selon Houssama :

 Ben ouais, moi aussi il était temps que j'y mette mon grain...

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21 avril 2007 6 21 /04 /avril /2007 10:50

(On va dire que je suis mauvaise gueule, mais tant pis)

un joli comte pour enfant :

 

Il était une fois un prince, un prince vraiment sympa. Il tenait la porte aux clients à la boulangerie, n'avait jamais voté FN, portait les packs d'eau des vieilles dames au Leclerc ; bref, c'était un prince charmant ! Il était comte de Why not (un petit comté à l'est du royaume de Vitryole) et on le surnommait Fifi (on verra pourquoi un peu plus tard).

Un beau jour, le comte de Why not dû se rendre chez la méchante sorcière Mélusine (plus couramment appelée Lusine) pour la combattre. Un combat qui ne semblait pas pouvoir trouver de fin, tant cela faisait longtemps qu'il avait débuté et que les 8 heures de luttes quotidiennes n'avaient jamais jusqu'à ce jour pu désigner un vainqueur.

Or ce matin là le comte, sans doute épuisé par les dragons, monstres et autres pachydermes rosâtres occis la veille, était à la bourre et n'avait eut le temps de se sustenter avant d'enfourcher sa monture, Castro.

A côté de Lusine vivait la fée Valérie qui proposait nourriture et rafraichissements aux chevaliers de passage. Le comte Why not, qui commençait à souffrir des affres de la faim, stoppa net devant l'échoppe son fidèle Castro (bougez pas, j'ai fait pire après) !

- Holà, bougresse, j'ai faim ! Qu'as-tu à m'offrir ?

La fée Valérie rejoint son comptoir, sourire aux lèvres et tulle-gras au bras (« surement une brulure » pensa Why not dont le sens de déduction était légendaire)

-         Sandwichs chauds ou froids, monseigneur.

-         Et bien soit ! Fais péter un « jambon-emmenthal », un « grec », un « bagnat-poulet » et ce breuvage noirâtre que tu conserve dans cette armoire magique (une armoire qui fait du froid tout seul), d'ailleurs qu'est-ce donc ?

-         Mon voisin Nicolas, dit le Colas, a tué ses volailles. On en extrait le sang, on rajoute du sucre et c'est très bon, mon prince.

-         Bien, je gouterais également le coq à Colas (j'avais prévenu) ! Combien te dois-je belle enfant

-         15 euros écus, preux chevalier.

-         FI ! fit Fifi (d'où le surnom, voilà, je...)

L'honnête comte de Why not vida donc l'intégralité de sa bourse et s'en alla retrouver Lusine pour leur duel quotidien.

Après 4 heures d'une lutte titanesque, les belligérants décidèrent d'un commun accord, d'une trêve d'une demie heure. Le noble Why not sortit alors sa pitance de sa besace. Après ce frugal repas, une néfaste impression naquit en lui : « putain, j'me suis fais enfler ! »

 

Emmenthal-jambon : à peu près autant de beurre, jambon et gruyère que dans un sandwich SNCF (à part qu'à la sneufeu ils ne mettent pas les ingrédients dans 20 centimètres de pain datant de l'avant-veille)

Pan-bagnat : là, ça peut aller...à part le pain. Céréales, au son, complet, j'en sais rien. Mais au final, ça laisse quand même un sale gout dans la bouche !

Le grec : le pain, ça va. Non là, c'est le reste qui merde ! pas radin sur la feta (au contraire, ça dégueule de partout), cette fois ce sont les oeufs (censés être) durs qui m'ont calmé, ils n'étaient pas cuits, on aurait dit du plastique mou... Déjà la féta c'est spécial, mais alors féta-plastique, c'est la goutte d'eau qui fait met le feu aux poudres...ou l'étincelle qui fait déborder le vase, j'sais plus comment on dit.

 

Alors 15 euros pour trois casse-dalle moisis et 1,5 litre de coca : plus jamais !

 

Le lendemain, une fois encore affaibli par ses combats éthyliques de la veille, e courageux Why not n'eut encore pas le temps de manger avant son combat quotidien avec Lusine. Cette fois il emprunta un chemin différent de la veille afin de ne pas céder à la tentation de s'arrêter à nouveau chez la fée (faut voir) Valérie. Son chemin le mena cette fois devant la petite boulangerie de maître Husquin.

-         Holà, noble artisan ! L'artisan en question (stupéfait par le port altier de sa seigneurie Why not) accourra ventre (qu'il avait de proéminent) à terre.

-         Que me vaut l'honneur, noble étranger ?

-         J'ai faim, (pour la suite du dialogue lire plus haut, on va essayer de faire court)

Cette fois, le menu se composa d'un pâté-croute (délicieux), un pan-bagnat (succulent), une part de tarte aux pommes (exquise) et d'une part de flan (excellent). Et le tout pour moins de sept euros ! Deux fois meilleur que la veille pour deux fois moins cher !

 

 

 

(maintenant attention,) Moralité :

 

 Husquin vaut mieux que deux tulles gras.

 

Je sais, « tout ça pour ça », c'est...  Désolé...

Et pour conclure, come je l'avais promis à un certain vitryolé, des zolis crobards de Mister Coyote parus dans un hors série fluide glacial consacré à la déesse des moto :

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

Je m'excuse auprès des puristes (y compris, voire surtout, le "mini" vitryolé) pour la qualité des photos, ptoblème de format... J'ai paré comme j'ai pu : en faisant des photos pourries !

 

 

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18 avril 2007 3 18 /04 /avril /2007 15:28

Aujourd'hui, fidèles lecteurs, mes amis, mes frères,

laissez-moi pousser un sacré coup de gueule :

 

 

ARRRGGGHHH......

 

 

"Mais, mais, mais, quelle peut être la raison de ce cri déchirant qui vient troubler la sérénité de notre cité vitryolaise habituellement si calme à l'exception toutefois des "pilotes" de boosters à la con dont les décibels produits rivalisent avec ceux des fans de tuning et zik de merde genre "boom boom" qui déambulent toutes vitres ouvertes et tout cerveaux éteints sur notre joli rond-point carré ? " vous demanderez vous non sans raison.

 

 

En voilà l'explication :

 

 

Ce matin, alors que je venais à peine de remercier Morphée pour l'accueil chaleureux qu'il m'a réservé cette nuit (lui donnant d'ailleurs rendez-vous pour le soir même), je me suis installé au volant de mon coupé sport afin de me rendre à ma boite à lettre à l'entrée de ma propriété (et ça fait une trotte, comme je vous l'ai déjà précisé, je suis un nantis), pour aller quérir le journal.

 

 

Quelle ne fut pas ma surprise en ouvrant le canard local à la page "France monde", page 10 en bas à gauche pour être précis ! Tenez vous bien (tenez vous mieux que diab' ) : Michaël Youn au musée Grévin !

 

 

"Le comédien (?), humoriste (?) et chanteur (?) Michaël Youn, trublion du paysage audiovisuel français, a inauguré hier son double de cire au musée Grévin". A la lecture de ces quelques mots et après avoir failli m'étrangler avec mon café (que j'ai d'ailleurs renversé par la suite. Décidément, c'est la journée pour tout le monde on dirait aujourd'hui) j'ai repris la lecture de mon quotidien. "Les sculpteurs l'ont représenté comme sur l'affiche de "Pluskapoil", 1er spectacle de l'humoriste". Le top du bon goût ! Du coup j'ai refait du café pour pouvoir tranquillement le renverser à nouveau.

 

 

L'autre con au Grévin... Pour une fois qu'il entre dans un musée, il y reste ! Michaël Youn avec de la cire,  je l'imaginais plutôt avec une bougie dans le cul plutôt que sur pied. Moi qui, crédule, pensait qu'il n'y avait que l'élite pour être ainsi "cirifié"... Du coup j'ai été faire un tour sur le site du Grévin. 'faut se rendre à l'évidence, on est loin de l'élite. "Le trublion" côtoiera effectivement des gens comme Picasso, Jimi Hendrix, JP2, Hemingway, Einstein ou encore Jeanne d'Arc, mais aussi d'autres comme Lorrie, Francis Huster ou Hélène Ségara, entre autres. Ouf, l'honneur est sauf !

 

 

Mais va t'on s'arrêter là ? Pourquoi pas la légion d'honneur tant qu'on y est !

 

 

En même temps, depuis sa création en 1802 (par le dictateur qui n'en était pas un mais qui a tout de même instauré une dictature qui n'en était pas une), pas mal, voire trop, de monde ont eut droit  à la médaille. Là encore, que l'élite ! Dans la charrette des promus de Pâques, citons au passage J.P. Belmondo promu au grade de commandeur, Enrico Macias et Francis Perrin à celui d'officier et Marc Lavoine, chevalier... Que du beau monde je vous dis.

 

 

"Une distinction qui vise à récompenser les mérites de celui qui la reçoit", on comprend mieux pourquoi  des mecs comme J.P.P. (dont le seul mérite est d'avoir joué au ballon) ou Afflelou (lui, il vend des lunettes, sacré mérite) l'ont obtenu ce mois ci. D'autre l'ont eu il y a beaucoup plus longtemps (en 1961 par exemple) et, fier de l'arborer jusqu'au bout, la petite médaille a même eu l'autorisation de suivre le décoré jusque dans sa tombe. Quel était le mérite de Papon déjà ?

 

 

Je vous le répète : Michaël Youn a déjà sa statue de cire, il ne tardera pas à avoir sa médaille et puis après ? L'académie française et le Panthéon ? On peut aller loin en se collant des plumes dans le cul à la tv...

 

 

Je dédicace donc la page de (bonne) bd du jour au futur immortel : Michaël Youn !

 

 

Un gag issu de la série de Jenfevre au dessin et Richez au scénar :

 

 

L'effaceur (aux éditions Vents d'Ouest)

 

 

Steel'o  Reynolds est un effaceur, comprendre : un tueur à gages

 

 

Professionnel jusqu'au bout des magnums,

 

 

donner satisfaction à ses clients est sa principale priorité.

 

 

Pour ça, il a créé des "contrats" originaux et très attractifs

Il propose entre autres les forfaits éco, épitaphe, last will (le condamné à droit à une dernière volonté), fondation (le condamné est coulé dans une nappe de béton), recyclage (transformé en boite pour chien), sculpture (le corps de défunt est statufié), et bien d'autres encore.

 

 

Ici, il s'agit du forfait "dernière chance"...

 

 

 

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15 avril 2007 7 15 /04 /avril /2007 15:56

Alors que je me prélassais tel un nabab (ou plutôt un pacha comme disent les femmes ; et oui, un pacha disent-elles ! Grosse fatigue moi...) sur la terrasse de mon bistrot favori ce samedi après midi, voilà qu'un opportun vint troubler ma méditation quant à l'importance du string (taille haute) assorti à la jupette (taille basse) sur les autochtones du sexe principalement féminin : « ben mon gros salaud, tu te casses pas le cul : je croyais qu'on devait avoir de la bd avec chaque papier pourri que tu mets en ligne ? »

 

N'écoutant que mon courage, bien que parfois un peu sourd à ses moults appels répétés, je renvoie mon agresseur verbal dans les cordes grâce à une réplique qui le laisse pantois : « toi-même, et d'abord c'est celui qui dit qui y ait » et paf !  Ha moi, faut pas me chercher ! Et puis que veut dire cette invective ? Moi un « gros salaud » ? Salaud passe encore, mais gros faut pas déconner quand même?

 

De retour à ma somptueuse propriété sur les hauteurs de Vitry, presque au bord de mer (à quelques centaines de kilomètres près, on va pas pinailler pour si peu) je dois me rendre à l'évidence : l'insolent troubleur de fantasmes méditation n'avait certes pourtant pas tort, le con.

 

Du coup aujourd'hui c'est double ration de (bonne) bd pour rattraper le léger oubli de la veille !

 

Une petite histoire parue dans un des nombreux recueils de "blagues coquines"

illustrées par Dany aux éditions Joker.

Dany surtout connu pour avoir dessiné les aventures de

"Bernard Prince" ou "Olivier Rameau" un tout autre genre...

 

Oui bon, je sais : c'est pas la grande classe... Mais perso, je la trouve bonne !

On enchaine avec un phénomène qui prend de plus en plus d'ampleur dans la bd actuelle : la bd achetée, la bd à jeter...  On y retrouve "les pompiers", "les gendarmes", "les fonctionnaires", "les supporters" les blagues de Bigard, Palmade ou encore, tout dernièrement, celles de Chevalier et Laspalès. L'adaptation (plus ou moins réussie) de séries télé (plus ou moins pourries) suit également le mouvement, "les aventures de Joséphine ange gardien", "les aventures de Fort Boyard", "Kaamelott", etc. Dans un autre registre, il existe également "les blagues à Toto" (véridique...) ou "les blondes"

Et c'est à ce dernier titre que nous allons nous intéresser. Ce genre à beau être à la bd ce que le Mac Do est à la gastronomie, je ne crache pas sur un petit Big Mac de temps en temps !

Ce qui suit est donc tiré du 1er tome des histoires consacrées à la blonditude.

Les auteurs, Gaby au "scénario" et Dzack au dessin,

ont d'ailleurs trouvé un titre assez original :

LES BLONDES TOME 1 (paru en 2005 aux éditions Soleil)

 Extrait :

Navrant ? Oui, peut être...

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10 avril 2007 2 10 /04 /avril /2007 14:34

Naviguant ça et là aux confins de la blogosphère vitryolaise, j'ai cru bon de remettre à (un peu) plus tard mon billet d'humeur politico-nimportequoitiste ; un autre sujet s'impose :

la presse locale...

Aux quatre coins du microcosme virtuel vitryat, jaillit depuis quelques temps déjà une plainte lancinante quant à la qualité d'un journal que je ne nommerai pas (par crainte de fournir un encart publicitaire gratuit à L'Union au journal en question).

Le cul entre deux chaises, le doute Massaï. En effet,  telle cette ethnie du Kenya (et du nord de la Tanzanie) face à la sécheresse, j'assiste également, dans une toute autre mesure, à une certaine injustice (ça n'engage que moi) !

Sans me faire l'avocat du diable (ni de rien d'autre en particulier d'ailleurs), je me pose toutefois cette question quand, la fin de journée et ses nuages rougeoyant s'étirent lentement face à moi qui, baigné par le parfum suave de l'encens, assis en lotus, nu, médite sur l'avenir de la barrière de corail australienne, la fonte de la banquise ou l'augmentation du prix des fourrures en peau de bébé phoque (les salauds, c'est une honte : ça devient hors de prix de se vêtir correctement de nos jours !) :

"Mais diantre,

quels sont donc les griefs qu'ont ces quelques mécontents

à l'encontre de ce quotidien,

bordel de merde ?"

Ouvrons là --> ( une parenthèse. Oui, souvent lorsque se présente à moi une question existentielle de l'ampleur de celle ci, je perds tout sens commun et c'est non sans qu'une certaine rougeur envahisse mon front désespérément dégarni du moindre signe capillaire que je me laisse aller à une grossièreté qui, je l'avoue, sied mal aux gens de mon rang. Mais fermons ici --> ) cette parenthèse déjà bien trop longue.

Outre les sempiternelles erreurs de tout canard, tels qu'une inversion de photos, une faute d'orthographe (généralement de frappe d'ailleurs) ou une légende (voire une "salamandre bavarde" mal à propos) que reproche t'on exactement au journal dont il est question ici ? Les défauts précédemment cités ont tout de même un avantage : ils occupent, ils distraient, ils amusent...

Combien seraient mornes les journées de ces critiques en herbe s'ils n'avaient pas leur feuille quotidienne pour y dénicher tous les défauts qui s'y cachent. On imagine aisément les conversations "Irishiennes" à l'heure du petit noir, du petit blanc ou de la bonne blonde : "Hé, t'as vu, y z'ont oublié un "S" ici" l'esclaffe est d'abord générale, les mines sont réjouies, "et pis ici, renchérit un second, y z'ont même inversé des photos ces cons là!"  Chacun participe joyeusement au dénigrement, (du journal que chacun, bien sûr, a lu...) "Allez Franck, remets-nous ça, c'est la mienne..."  La bonne humeur provoquée par ces enfantillages ne semble pas troubler la quiétude de l'équipe journalistique en place... et on peut le comprendre !

Mais d'autres ont la dent plus dure, s'attaquant à la forme ET au contenu. Là, est lâché "L'Union, ce journal, c'est vraiment de la merde !" celui ci se sent l'âme d'un meneur, celui qui va délivrer la cité vitryate du joug du "journal issu de la Libération". "Et les sujets... non mais t'as vu ça ? on n'en a rien à fout' " rétorque cet autre qui semble également revendiquer le titre de chef de la rébellion...

La critique, art aisé, se doit d'être constructive. 

A dit M. Vian, Boris de son prénom qui, rappelons le, avait oublié d'être con !

Malheureusement, dans ce cas, tout cela ressemble plus à une destruction en bonne et due forme... Où sont les idées ? Quelles sont les solutions à apporter pour donner à ce canard un regain d'intérêt ? Où sont ces critiques et leurs idées révolutionnaires quand le lectorat est interrogé ? Est-ce bien le colonel Moutarde qui a tué dans la bibliothèque avec le chandelier ? Des questions qui restent sans réponses... Bien sûr, certain ont LA réponse :

De toute façon, la presse papier est condamnée à disparaitre en faveur d'internet ! 

Oui, c'est plus que probable, mais à quelle échéance ? Quand on compare le nombre de lecteurs (et surtout la qualité) des "journaux papier" avec celui de ceux publiés sur le net on peut en conclure que ce n'est pas pour demain (ni pour après demain d'ailleurs)... Quand on feuillète par exemple  cet excellent hebdomadaire qu'est "courrier international", on peut remarquer que sur la vingtaine de journaux consultés pour le remplir seuls 2 ou 3 sont issus d'internet. Je sais, ce n'est pas une référence, mais le chiffre m'apparait toutefois éloquent. D'un autre côté, c'est encourageant, cela prouve que le web se démocratise et se fait entendre (ou plutôt lire), mais je le répète : à quelle hauteur ?

Et surtout, comment remplacer nos sens mis en éveil à la lecture d'un journal papier ? Moi j'ai besoin de toucher, sentir les défauts du papier sous mes doigts, tourner les pages, revenir trois pages en arrière en deux secondes (sans clic ni chargement fastidieux). J'ai besoin de sentir l'odeur de l'imprimerie quand le journal est "frais" ou humer son parfum quand, avec l'âge, le fameux papier, jauni, dégage cette odeur si agréable. J'ai besoin d'entendre le bruissement des feuilles au fur et à mesure de ma lecture (bon, ça, ça doit être mon côté fleur bleue). C'est également rare qu'un café mette à la disposition de ses clients un ordinateur pour lire les infos. Faire les mots croisés sur un ordi, j'ai essayé, ça ne fait que niquer l'écran. Avez vous déjà tenté de camoufler, voire d'éponger, une bière renversée sur une table avec un portable (chose que je n'ai pas essayée, je vous rassure) ? Et puis tenir le journal de façon à pouvoir mater discrètement une jolie fille, c'est une chose impossible à faire avec un ordi portable (en fait pas impossible, mais dangereux. J'ai essayé, je me suis fait capter par son mec : quinze jours d'incapacité totale de travail...)

Faut il attendre que L'Union le journal local disparaisse en n'ayant cesse d'entendre répéter " 'toute façon les journaleux c'est tous des cons, des bons à rien qui savent pas écrire" (ce qui n'est pas le cas de tous en tout cas) ou essayer de réfléchir à une certaine intéractivité entre journalistes et lecteurs afin de le rendre plus attractif ? La question est posée...

Prenons garde que notre esprit critique ne se transforme en esprit de dénigrement systématique

A dit cet autre qui, s'il n'avait pas non plus oublié d'être con, n'a pas été le premier à se servir le jour de la distribution de matière grise...*

M'enfin, tout ça ne nous empêchera pas d'avoir notre page de bd quotidienne (ou presque) qui, si elle n'est pas du meilleur goût, à le mérite de me faire sourire...

Paru en 1987 dans "...Stars toujours" la suite de "Stars d'un jour... (éditions Delcourt) par le sympathique (qui l'eut cru) Tronchet, 2 ans avant de créer le tombeur de ces dames :

Jean Claude Tergal... 

 

*D'ailleurs on va lancer un concours : le premier qui me donnera le nom du mec qui a pondu la dernière citation gagnera...euh...un truc !

 

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