Ayé, c'est parti pour de bon cette fois : welcome to the DWC2 !!!

On commence en douceur, enfin presque ! Vous connaissez les portraits chinois ? Mais siiiiiiiiiiii, vous savez, « si j'étais une fleur, je serais.... » ou encore « si j'étais une légende, je serais... (Whynot bien sûr) » et à la fin, toutes ces affirmations tracent le portrait d'une personne !

Et bien c'est sur ce principe que débute cette nouvelle saison (comme dans les séries US) du DWC ! Vous êtes prêts ? C'est parti :

Si j'étais un fruit, je serais une cerise ;

Si j'étais un animal, je serais un manchot ;

Si j'étais une fleur, je serais la violette ;

Si j'étais un métal, je serais l'argent ;

Si j'étais un dessert, je serais une glace ;

Si j'étais une boisson, je serais du cognac ;

Si j'étais un poisson, je serais une espèce vivant dans les coraux ;

QUI suis-je ???

En relisant cette énigme, je trouve qu'elle est à la fois simple et compliquée... et vous, vous en pensez quoi ?

Faites-moi parvenir vos réponses à cette adresse (et seulement celle-ci, pas de réponse en com bien sûr) : dwc2@hotmail.fr et magnez-vous, les premiers arrivés seront, non pas les mieux servis, mais les mieux récompensés ! En cas de mauvaise réponse, ben... tant pis pour vous ! Par contre, si vous avez la bonne je vous enverrais un message de confirmation.

J'avoue que commencer le jeu ce vendredi n'était peut-être pas le meilleur plan... J'ai pas mal de trucs à faire ce week-end et doute de pouvoir me connecter au moins avant lundi ! Mais ne vous inquiétez pas, j'ai déjà programmé deux papiers pour vous donner quelques indices !

Je ferai un premier point ce lundi, d'ici là, bonne chance...

Edit de 10h : quand vous m'envoyez vos réponses, justifiez les svp, pour le fun ! Nan parce que j'ai reçu des trucs, j'ai du mal à voir le rapport !!! Mais d'autres qui tiennent plutôt la route...

Comme d'hab, je ferais un point de ce que j'ai déjà reçu. Mais je peux d'ores et déjà vous dire que ce n'est ni "clown", ni "esquimeau" ni "machine à sous". Alors, QUI suis-je...?

Edit de 13h : (ou Edith 2, elle revient et elle n'est pas contente, tintintiiiiiiin... ça fait grave film d'action avec plein d'explosions et le héros qui emballe la belle blonde à la fin pendant que le méchant meure, non ? Bref,) Certain m'ont fait part de leur désarois quant à l'impossibilité de laisser des messages via l'adresse donnée (ça sent l'excuse en bois, mais passons). En cas de pépin, vous pouvez passer par mon msn whynot_51@hotmail.fr (et si tu es une lectrice blonde à forte poitrine, tu peux également entrer cette adresse dans tes contacts msn, petite coquine va).

Et je précise qu'en cas de bonne réponse, je vous donne confirmation par mail, si vous ne recevez aucun retour, ben... cherchez encore !

Salut les p'tits clous (ouais, c'est pas de moi et alors) ! Alléluia, j'ai retrouvé l'inspiration grâce à la journée que je viens de vivre ; faut qu'j'vous raconte...

Avant tout, il faut savoir qu'hier, la patronne du canard m'a appelé pour faire un micro-trottoir ayant pour thème la fermeture d'un magasin dans une zone commerciale. Et là, vous vous dites « mais  qu'est-ce donc qu'un micro-trottoir ?» Question pertinente s'il en est et je n'en attendais pas moins de votre part, fidèles lecteurs d'amour. Et bien comme son nom ne l'indique pas du tout (parce que poser un micro sur un trottoir, on a connu plus intéressant), le but du jeu est de poser diverses questions sur un sujet précis à cinq personnes, de leur faire développer leur avis et enfin de les prendre en photo et c'est marre ! A première vue, rien de bien compliqué, et pourtant...

Un micro-trottoir prend un certain temps à faire. Faire parler les gens, ça, je sais faire, mais dès que je sors l'appareil (photo, bande de graveleux personnages) c'est la débandade (voir parenthèse précédente) ! « Naaaaaaaaaaaaaaan, j'veux pas être dans le journaaaaaaal » ; si on aborde le racisme, la politique locale, l'insécurité ou des trucs dans le genre, je peux le comprendre, mais la fermeture d'un magasin de papier peint, là, j'ai du mal à saisir... à moins que ces personnes se la jouent star. Or, s'il y a bien une star sur Vitryol, c'est MOI ! Bref, en moyenne, il faut interviewer une dizaine de personnes pour pouvoir en garder cinq au final (entre ceux qui refusent la photo et les "heu... j'sais pô moi..." reste pas grand monde) !

Bref, je ne suis pas là pour vous raconter ma vie, mais pour... ben... en fait si !

Conscient de la tâche ardue qui m'attendait ce jour, j'ai donc réglé le réveil pour 7h, ce qui me laisse le temps de prendre mon café/clope/café/clope/clope/café/clope/clope/clope du matin et, éventuellement, de prendre une douche avant d'arpenter les rues vitryolées. Donc, obéissant comme il se doit, ce matin à 7h le réveil a du sonner. Perso, il ne m'a pas dérangé le moins du monde ! 10 heures, j'émerge enfin. Je me lève et effectue mes exercices du matin. Et un et deux. Et un et deux. Et ce au moins une dizaine de fois avant de changer de paupière.

10h30, prêt à partir, je file dans la why-cave et monte dans la why-mobile. 10h31, je sors Neu-neuf de sa torpeur (avec du mal) et du garage par la même occasion. 10h32, je retourne au salon et me munis d'une écharpe, d'un bonnet et d'une paire de gants. Sans dec, il fait... je sais pas combien en degré, mais en tous cas il fait froid ("zizi de plage", vous voyez ?) ! A cet instant, j'ai eu une pensée pour Quinquin ; lui qui ne porte même pas de baskets (il chausse du 8 en coussinet), il doit se les peler sévère !

Arrivé à Vitryol, avant d'attaquer, il me faut remplir une formalité mensuelle : comme à chaque fin de mois, je vide mon compte. Les différents prélèvements n'allant pas tarder à tomber, ils seront rejetés et une fois fait, je remets les tunes,  au moins j'aurais un peu de liquide pour finir le mois !

Plus ça vient, plus je réussis à fréquenter différents établissements public sans pour autant me sentir mal... il n'y a guère qu'à la banque où ce n'est pas le top. Je m'installe dans une file d'attente et, comme d'hab', la loi de Murphy joue contre moi, la salope ! C'est quand même bizarre, à chaque fois que je vais à la banque, il faut que je tombe sur LE cas social, LE mec à qui tout arrive et qui ne bite jamais rien à rien. Là, le mec en question voulait un rdv avec sa conseillère, la nénette à la caisse lui explique que ce n'est pas possible, mais ce monsieur demande quand même à voir un responsable « TOUT DE SUITE ». A cet instant, je me suis pris à fouiller dans mon nez pour en sortir suffisament de matière pour fabriquer une poupée vaudou et planter une demi-douzaine de cure-dents dans sa tête de con ! Bref, au bout d'un interminable moment, j'ai pu enfin retirer quelques tunes.

C'est en sortant de la banque que ça a merdé...

Impossible de bosser par un froid pareil, obligé de me réfugier dans le troquet le plus proche. « Tiens, un coton-tige géant » me lance le barman, « gros con » lui ai-je répondu après avoir ôté mon bonnet, « un grand crème steuplait », "ça marche Bad boy" (il m'a explique après que B.A.D. c'était pour Branleur Alcolique Drogué, quand j'vous dis qu'c'est un gros con). Je m'installe au zinc et commence à engager la conversation avec le gros con en question ainsi qu'avec un client qui sirotait son café pas loin de moi. De fil en aiguille, j'arrive à convaincre le quidam qui consent à participer au micro-trot et à se laisser prendre en photo. Du coup, pour le remercier, je lui ai payé une mousse avant de sortir pour la photo (c'est mieux de faire ça dehors, l'intérieur d'un troquet, c'est pas super photogénique).

Une fois la photo prise, on m'interpelle : « *@**ouze, qu'est-ce tu fous là ? » j'explique à cette vieille connaissance ce que je suis en train de faire et lui propose de lui exposer ça plus en détail devant une mousse. De fil en aiguille, ben... il m'envoie chier ! Mais au moins il aura remis la sienne avant de partir ! Je l'accompagne et on croise un de ses potes qui, lui, se laissera convaincre de « poser pour moi » (ça fait classe comme expression, mais en vérité, j'suis une brèle avec un appareil photo) !

A peine fini, je suis retourné au troquet, rechercher mes affaires. Tiens, un nouveau au bar ! J'essaye de le convaincre de participer à l'enquête mais essuie un refus. Mais comme j'ai déjà vu ce mec jouer aux fléchettes, je lui propose un deal : « on fait une partie, si tu gagnes, je paye la tournée, si tu perds, on fait le micro-trot, ok ? » Et hop, et de trois ! Par contre, on s'est quand même payé la tournée chacun à notre tour, on n'est pas des bêtes non plus, merde !

Trois personnes en moins d'une heure, l'affaire me paraissait bien engagée, du coup je me suis repris une petite bière histoire de fêter ça ! C'est là que Sandra, une vieille copine est arrivée. Je lui ai également proposé de participer, ça va sans dire. Par contre, même avec une bière, elle a refusé la photo... pas grave, je l'ai bue pour elle !

Mais à un moment, toutes les personnes présentes dans le pub savaient à quoi s'attendre et refusaient que je les interview (toujours cette sempiternelle peur de l'appareil photo), du coup je suis allé dehors pour continuer mon papier. Mais franchement, il faisait quand même super froid aujourd'hui, j'ai donc trouvé refuge quelques mètres plus loin, dans un autre troquet... Et je dois rendre à Champix ce qui lui appartient (pour une fois qu'il n'a pas tort) : ce n'est pas toujours monsieur X (anonymat oblige) qui règle les consos !

Monsieur X :

Et oui, nous buvions le café,

il faut savoir être raisonnable que diab' !

C'est en sortant de ce second troquet que j'ai enfin fait ma première interview en « plein air » ! Mais bon, le plein air ça va bien deux minutes, mais après il fait froid... et soif ! Je suis donc logiquement retourné au pub...

Et là, ô surprise, mon regard croise celui d'une cliente pour le moins charmante, et qui soutient le mien en plus, la coquine ! Je sors donc le grand jeu et parviens à m'installer à sa table en compagnie de ses deux amies. Contre un chocolat chaud, elle accepte de répondre à mes questions (moi j'ai pris une bière, pour éviter les mélanges). Ceci étant fait, je peux à nouveau m'installer au comptoir pour taper la discute avec le gros con barman, mais je perçois tout de même quelques mots de la conversation du trio que je viens de quitter « tu te rends compte, maman, on peut pas aller prendre un café sans qu'un gros relou vienne te brancher ». La salooooooooooooooope, Franck, remets moi une mousse steuplait !!!

Si dans ta vie future tu devais être un animal, lequel et pourquoi ?

Pas top comme idée... Ben oui, parce qu'à choisir, j'aurai préféré pouvoir être encore un homme (ou mieux, une femme, j'aurais passé des heures à me toucher les seins sans risquer de me prendre une tarte dans la gueule puisque ça aurait été les miens, ou à me caresser les fesses ou encore mieux, me... oups, désolé, je m'égare là), bref, puisqu'il faut choisir une bestiole, j'hésite entre un morpion (parce que j'ai le sens du contact), un chien (parce que si tu tombes sur le maître sympa, t'es vachement bien nourri) et un chat (genre Quinquin avec un maître comme moi, t'es trop peinard). J'en sais rien en fait, je prendrais ce qu'il restera pis c'est tout !

Sinon en arbre, un saule pleureur, c'est classe (bien que ça vit super longtemps un arbre, arrive un moment où tu te dois te faire un peu chier quand même mais bon...)

Si tu étais un aliment ?

Un piment, parce que ça arrache le cul ! (je vous jure sur tout ce que j'ai, que j'ai essayé de ne pas la faire celle-ci, mais ça a été plus fort que moi, je suis réellement désolé... putain, comment j'ai hoooooooonte)

Si tu gagnais au loto "imagine que tu joues", tu ferais quoi et pourquoi ?

L'objectif principal après avoir gagné le méga-giga-jackpot-de-la-mort-qui-déchire : tout claquer en un mois MAXI ! Je commencerais déjà par rembourser au centuple mes « petites » dettes (sauf Cetelem et le Crédit Agricole, eux, j'les emmerde). Je finis de payer la maison de mes parents, je rénove à fond celle de mamie Whynot et je m'en paye une vers Vitryol, la maison de mes rêves, dans le pur style champenois, avec piscine inter/exter comme à Center-parc, avec une GIGANTESQUE pièce qui me servirait de bibliothèque où j'y mettrais toutes les bd parues à ce jour ! Ensuite quelques véhicules, genre un scoot' sympa, une 1200 Vmax, une volvo haut de gamme et la rénovation complète de Neu-neuf, genre lui mettre un moteur de folie pour griller les p'tits cons en BM aux feux rouges ('culééééééééés). Je couvrirais mes amis de cadeaux et j'offrirais à Jocelyne des trucs de fous, même des perles de pluie venues de pays où il ne pleut pas, rien à fout', même pas peur ! S'il m'en reste « un peu », j'ouvre ma librairie spécialisée en bd. Et avec le reste, je m'achète un paquet de camel light.

Es-tu du genre "je m'en tape" ou "je flippe" ?

Pas original, mais... les deux ! D'abord je m'en tape et après je flippe ou alors c'est l'inverse ! Mais en tous cas, les deux vont très très souvent ensemble...

Qui t'as offert ta 1ère boîte de chocolat ? Quelle marque ? Combien de chocolats dedans ?

Je pense que c'est le colonel Moutarde avec le chandelier dans la bibliothèque, mais je suis pas certain !

C'est pas que cette question soit totalement stupide (enfin si, un peu quand même), mais c'est surtout (enfin je pense) qu'à force de passer de blogs en blogs, il a du y avoir une couillette (une petite couille quoi) ! Du coup, je pense qu'à la base il devait s'agir de la dernière, pas la première ! Alors :

Ma DERNIERE boite de chocolat m'a donc été offerte par Filibounet il y a de ça une semaine ou deux, j'ai pas fait gaffe à la marque et je ne sais pas combien il y en avait dedans (quand on aime, on compte pas)... mais pas passez en tout cas, j'ai déjà tout englouti !!!

- Pourquoi blogues-tu ?

devinez, bande de cons... pour draguer de la gonzesse pardis ! YEAH, BABY, YEAAAAAAAAAAAAH !!! Ou alors pour que Vitryol, la ville que malgré tout je continue à aimer, ait un VRAI BON blog !

A moins que ce ne soit pour étaler, ailleurs que sur des tonnes de pages volantes condamnées à finir dans la cheminée, mes ptites zémotions du moment. Pour vous faire enrager avec mes coups de gueule (je vais vraiment finir par le faire ce putain de papier sur la religion). Pour vous faire découvrir ce qui me fait vibrer en matière de zik ou de bd. Pour (essayer de) vous amuser avec toutes mes conneries tout droit sorties d'un cerveau malade. Pour (rarement, mais ça arrive) vous faire partager mes peines et mes joies (ça arrive plus souvent, heureusement). Pour que Whynot remonte le moral de H@ns. Pour rappeler de façon subliminale à la merveilleuse Jocelyne qu'il faut qu'elle pense à un truc (faudrait pas qu'elle l'oublie d'ailleurs). En fait, le mot qui résume le mieux tout ça c'est : partage...

Pour paraphraser FLB, je dirais que ce blog a changé ma vie, que ce soit en bien ou en mal, elle l'a influencé TRES fortement. Il m'a permis de rencontrer des personnes (p'tain, ça me fait chier d'utiliser ce mot, mais bon, tant pis) exceptionnelles ! Je ne les citerais pas (je sais que Armand, Bdu, Babou, C100C, Chimère, Elsa, Grignette, Obi, Patur, Pouci, RM et Vertigo ne m'en voudront pas) en plus j'aurais peur d'en oublier, peut-être même ceux avec qui j'ai noué des contacts bien plus profonds qu'une simple amitié (mais je pense que FLB et Jocelyne ne m'en voudraient pas non plus). Il y a également ceux que je rencontrerais un jour ou l'autre. Bref, derrière le virtuel, il y a tout de même le réel (ça c'est juste pour contredire Morticia, exceptionnelle aussi, mais que je n'ai pas cité car rencontrée avant l'ouverture de son blog, pareil que Tweety).

Bref, ce blog c'est tout moi, et je ne suis pas prêt de l'arrêter... enfin normalement !

Ne vous croyez pas peinards pour autant ! Je préfère vous le dire maintenant, il y aura certainement un autre papier de publié d'ici la fin de la journée (obligé, j'ai déjà pris les photos) !